dans le camp de réfugiés Congolais de Musaga près de Muyinga au Nord-Est du pays, près de la frontière Tanzanienne.
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2 hommes - 1 femme. 3 clowns. La formule est magique. Et devinez qui porte la culotte? Kevin, Juan et céline ont travaillé d'arrache pied pour faire de cette mission Burundi une vraie réussite. Ils n'auront pas accès à Internet tous les jours mais ils n'ont de cesse que de vous faire partager leurs impressions. Qui ne peuvent qu'être fortes. Car pour Céline et Juan, ce sera leurs premiers pas en terre africaine.
Kevin
Céline
Juan
Pourquoi le Burundi?
Après une guerre civile interminable et particulièrement meurtrière, le processus prolongé de rétablissement de la paix au Burundi a sérieusement aggravé les conditions de survie et le bien-être des enfants et des femmes dans tout le pays.
La proportion d'enfants qui souffrent d'une forme ou d'une autre de malnutrition chronique atteint 53 %.
Le rapatriement massif de la population réfugiée en République-Unie de Tanzanie fait subir une forte pression aux services sociaux des zones de retour. La réintégration des réfugiés présente un énorme défi, particulièrement dans les domaines de l'éducation et celui de l'eau, de l'assainissement et de l'hygiène.
La situation toujours très tendue en RDC fait également du Burundi une terre d’accueil : Le HCR Burundi assiste et assure la protection de quelque 30 000 réfugiés congolais, vivant en majorité dans trois camps et, pour quelques-uns, en milieu urbain.
Les enfants restés orphelins sont nombreux, beaucoup ont dû assumer très jeunes le rôle de chef de famille. D’autres ont préféré se réfugier dans la rue parce qu’ils ne bénéficiaient d’aucune assistance sociale ni communautaire. Ces enfants constituent une force potentielle d’amélioration de la vie économique et sociale de leur pays ; elle est malheureusement ignorée et marginalisée. C’est une conséquence directe de la désintégration des structures familiales, traditionnelles, et des valeurs de solidarité...Rien qu’à Bujumbura, on dénombre pas moins de 5.000 enfants des rues.
La proportion d'enfants qui souffrent d'une forme ou d'une autre de malnutrition chronique atteint 53 %.
Le rapatriement massif de la population réfugiée en République-Unie de Tanzanie fait subir une forte pression aux services sociaux des zones de retour. La réintégration des réfugiés présente un énorme défi, particulièrement dans les domaines de l'éducation et celui de l'eau, de l'assainissement et de l'hygiène.
La situation toujours très tendue en RDC fait également du Burundi une terre d’accueil : Le HCR Burundi assiste et assure la protection de quelque 30 000 réfugiés congolais, vivant en majorité dans trois camps et, pour quelques-uns, en milieu urbain.
Les enfants restés orphelins sont nombreux, beaucoup ont dû assumer très jeunes le rôle de chef de famille. D’autres ont préféré se réfugier dans la rue parce qu’ils ne bénéficiaient d’aucune assistance sociale ni communautaire. Ces enfants constituent une force potentielle d’amélioration de la vie économique et sociale de leur pays ; elle est malheureusement ignorée et marginalisée. C’est une conséquence directe de la désintégration des structures familiales, traditionnelles, et des valeurs de solidarité...Rien qu’à Bujumbura, on dénombre pas moins de 5.000 enfants des rues.
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